Le Onzième Chapitre, L’Epilogue et la Vérité dans le Roman :

 « La juge prononça l’inculpation de Pierre Cazes… On doutait qu’il puisse survivre jusqu’au procès. Une bonne occasion pour étouffer l’affaire ». Daeninckx commence chapitre onze avec une autre critique de l’état française, et son penchant d’enterrer les scandales d’état. Cadin et Claudine sont ensemble dans une façon amoureuse a ce point. Personnellement, je ne trouve cette partie du roman pertinent ou approprié pour le style d’un roman noir. Ici, on découvre pourquoi André Veillut a tué Bernard et Roger. Ils ont trouvé des preuves de sa collaboration avec le gouvernement Vichy pendant la Deuxième Guerre Mondiale. Veillut a leur aidé « ni par conviction politique, ni par antisémitisme, mais tout simplement en obéissant aux règlements et en exécutant les ordres de la hiérarchie ». Lécussan a aidé Veillut et ils sont resté toujours en contact. Dans ses recherches sur Drancy, Roger Thiraud a découvert le lien entres les hommes et « liquidait des centaines d’êtres humains… au-devant de… désirs » des Nazis. Avant la Libération en France, avec « les grands moments de la collaboration touchaient à leur fin » Veillut et Lécussan sont devenus des aides de la Résistance, pour éviter des poursuites judiciaires pour leurs actions. Cadin dans ce chapitre a mis en lumière un disfonctionnement de l’état.

Dans l’épilogue, on retourne à Bonne-Nouvelle, comme dans chapitre un. Cette technique littéraire est souvent utilisée par des auteurs pour commencer et finir ses romans. Des travaux de construction ont découvert, sur le mur, un panneau depuis la Deuxième Guerre Mondiale. Ici, il me rappelle la phrase au début du roman :

« En oubliant le passé, on se condamne à le revivre ».

Une phrase courte. Une phrase forte. Une phrase importante. Une phrase qui comprend la fragilité de l’humanité.

C’est important après tous d’analyser la vérité dans ce roman policier. Bien sûr, il est une l’histoire de meurtre et violence. Il explore les thèmes d’un roman policier, un roman historique, d’une critique sociale. Mais, plus important de tout ςa, il a ses fondations en réalité. La manifestation de 1961 et la brutalité des C.R.S est vrai, l’horreur du camp de concentration à Drancy est vraie. Ces évènements font partie de l’histoire de la France. Le choque, l’horreur, la violence et la corruption qui existent dans ce roman faisaient partie d’un passé brutale. Daeninckx, en 1984 dénonce la machine étatique. Il est aussi devenu un témoin et un orateur pour ce qui n’a pas eu l’occasion de parler lui-même. Assez important par Daeninckx aussi était le fait que André Veillut est basé sur un vrai homme : Maurice Papon. Un préfet dans le Deuxième Guerre Mondiale à Bordeaux, il a collaboré avec les Nazis. Il a décidé en 1944 que les Nazis ont faiblesse et il a commencé d’aider la Resistance. En 1961, il était la tête de la police à Paris et il a donné les ordres pour la réaction de la manifestation algérien pacifique. Daeninckx a utilisé sa plate-forme de faire la lumière sur cette histoire oubliée en France. Il lutte pour justice, exactement comme Cadin.

La Bibliographie :

Daeninckx, D. (1984) Meurtres pour Mémoire, France : Gallimard

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https://www.pieds-noirs.stir.ac.uk/17-october-1961/ – Image 2

Le Neuvième Chapitre :

Je trouve ce chapitre excitant ! Avec plusieurs techniques littéraire, Daeninckx augmente le suspense et la tension. Il y a un changement du narrateur à Pierre Cazes. Il sait que sa vie terminera vite. Il sait « que la bête immonde le bouffait de l’intérieur ». Tout ςa donne une sens d’urgence de ce chapitre. Il ne reste pas beaucoup de temps. Cazes pense de Cadin, et quand il découvre que Cadin est retourné à Paris, il retrouve son pistolet, la même arme qu’il a utilisé pour tuer Roger Thiraud. Il va au garage, pour trouver sa voiture et il part pour Paris. Ce chapitre bref est tellement important car il souligne l’urgence des derniers chapitres qui suivre.

Le Dixième Chapitre :

On commence avec Lardenne et Cadin à Paris. Lardenne a trouvé le policier motard et trouve le numéro du Renault « Le 3627 DHA 75 ». Cadin « passer au service des cartes grises » et après il va pour voir le chauffeur habituel de cette voiture. Il passe au bureau Dalbois pour trouver le dossier d’un fonctionnaire de la Préfecture de Paris. Il trouve Lardenne et Claudine et ensemble ils vont à la Préfecture pour confronter l’assassin de Bernard Thiraud, André Veillut. Ils écoutent des coups de feu derrière la porte du Bureau. Pierre Cazes ouvre la porte, « un vieil homme au visage totalement défait, comme blesse intérieurement ». Dans son avis, Veillut aurait eu tuer Cadin, sans son intervention. « Il vous aurait eu, petit… C’était joué d’avance ».

La route Paris – Toulouse d’André Veillut

On apprend que Veillut a tué Bernard et qu’il a donné l’ordre pour l’assassinat de Roger avec sa position à la tête des Brigades Spéciales. Lécussan a travaillé avec Veillut dans le passé et il a donné l’information à André Veillut que Roger et, vingt ans plus tard, Bernard ont demandés de voir les documents classés en cote « DE ». Veillut a conduit à Toulouse, sur « l’autoroute du Soleil. Un vrai parcours touristique » pour éviter d’être découvert. Le chauffeur de Veillut a confirmé pour Cadin que le Renault 30 TX a eu deux milles bornes plus sur le compteur kilométrique le jour après le meurtre de Bernard.

Je crois qu’il est important de résoudre les meurtres plus dans les derniers chapitres. Bien sûr, en ce moment on sait les ou, quand, qui et comment parties de la question des meurtres mais encore on ne comprend pourquoi André Veillut a voulu les morts des deux Thirauds. Je pense que la tension et le suspense du chapitre avant continue pendant la plupart de ce chapitre, avec les coups de feu dans la Préfecture. Daeninckx a souligné la corruption dans ce chapitre avec la révélation que le Directeur des Affaires Criminelles est responsable pour le mort de Bernard Thiraud, l’ironie est écrasante.

La Bibliographie :

Daeninckx, D. (1984) Meurtres pour Mémoire, France : Gallimard

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Le Huitième Chapitre :

Dans le début de ce chapitre, Bourrassol travaille sur l’hypothèse d’une erreur d’identité avec Bernard Thiraud. Il trouve peut-être un ex-brigadier Potrez qui ressemble vaguement Bernard Thiraud. Chez-lui, Cadin décide de lire la monographie incomplète de Roger et Bernard Thiraud. Il parle de la ville de « Drancy, des origines à nos jours ».  La monographie est bien conçue, avec des espaces pour des illustrations, photos, plans et graphiques. Chapitre après chapitre, Roger a écrit sur l’histoire de sa ville de natale. Il a parlé des premiers gratte-ciels en France, un programme ambitieux à Drancy. Après des problèmes, la cite entière a été donné au ministère de la Défense. Il a changé les gratte-ciels d’être des logements pour un régiment de Gardes Mobiles.  

La Cité de la Muette, Drancy, 1941

Pour les lectures, c’est ici ou l’histoire noire de la ville apparaît. Apres l’emprisonnement des soldats alliés, le 20 août 1941 « la Cité de la Muette fut officiellement transformée en Camp de Concentration destiné au regroupement des Juifs français avant leur transfert en Allemagne et en Pologne occupée ». Roger Thiraud a donné le chiffre de 76 000 personnes, en trois ans, déportées vers Auschwitz. Roger a parlé de seulement 2190 survivants. Les gens étaient gardés par quatre soldats allemands « secondes dans leur tache par plusieurs dizaines de supplétifs français ». Les chiffres dans cet extrait au-dessus et dans la note du ‘Bureau d’alimentation’ montent, à mon avis, l’horreur de Drancy à l’époque. Les enfants, les gens : ils sont simplement décrits comme des chiffres, et ne sont plus décrits comme des humains. Cette monographie décrit un page sombre dans l’histoire de Drancy et de la France.

Drancy, 2019

Dans un rêve, Cadin mélange les évènements de Drancy avec le soir de 17 octobre, 1961. Ce rêve établi un lien prophétique et subliminal entre 1961 et la Deuxième Guerre Mondiale. Lardenne le lendemain, épingle une nouvelle carte routière au mur dans le bureau. Soudainement, Cadin a une idée. Il pense que peut-être l’assassin dans le Renault 30 TX noir a pris une autre route à Toulouse, sur la A6. Je pense que cette étincelle dans l’enquête vraiment intéressant. Pour nous, les lectures, le Renault est devenu une impasse, alors c’est excitant de voir cet indice encore.

Cadin retourne à la Préfecture de Toulouse et il rencontre Lécussan. Dans ses recherches, Cadin découvre que Roger et Bernard les deux ont consultés les documents « DE ». Cadin récupère les documents sur la portation. Un document, « signée des seules initiales A.V. » discute la déportation « à Drancy des enfants juifs dont les parents étaient déjà déportés ». Quand Cadin quitte la Préfecture, il entendu de Lardenne qu’un témoin, un motard, a vu le Renault 30 TX le nuit du meurtre de Bernard Thiraud sur la A6. Pour une raison encore obscure, Lécussan essaye de tuer Cadin dans la rue. Il ne réussit pas, et Lécussan lui-même tombe dans la rue, mort d’une balle de l’arme de Cadin.

Drancy, 2019

Je crois que ce chapitre est intéressant pour plusieurs raisons. Premièrement, il est important dans le développement de l’enquête sur le meurtre de Bernard Thiraud. Il y a beaucoup des indices pour mieux comprendre le contexte du meurtre dans ce chapitre. Deuxièmement, ce chapitre est important pour sa représentation de l’horreur de la Deuxième Guerre Mondiale. La tonalité sombre, du chapitre provoqué par les mots tragiques de Daeninckx, est déchirante pour les lectures. Cadin ne peut pas dormir à cause des images horribles de Drancy. Daeninckx dénonce la violence dans le monde pendant le roman entier mais ici, surtout, il souligne l’indifférence et l’inhumanité des hommes. Je pense que, plus qu’une critique, ce chapitre existe comme un appel d’améliorer et faire une des progrès à l’avenir.

La Bibliographie :

Daeninckx, D. (1984) Meurtres pour Mémoire, France : Gallimard

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https://www.tripadvisor.com/LocationPhotoDirectLink-g1080240-d3520090-i303002860-Memorial_de_la_Shoah_Drancy-Drancy_Seine_Saint_Denis_Ile_de_France.html – Image 2

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Le Septième Chapitre :

C’est intéressant de voir ici le retour de Cadin à sa vie quotidienne. À Toulouse, il y a des autres affaires de policier de résoudre. Il parle avec Bourrassol des situationnistes et les fausses convocations. Bourrassol croit que son fils fait partie des situationnistes et il a préparé sa lettre de démission. Je trouve cette partie du roman astucieux par Daeninckx. Après la violence des C.R.S. et le discours sur la corruption par Claudine, c’est ingénieux par Daeninckx d’incorporer un personnage qui soit prêt de sacrificier quelque chose à l’idéal de justice et de vérité. Bourrassol est exactement le contraire de la corruption municipale.

C’est aussi bien de voir le vol dans une bijouterie. Plus que voir la vie quotidienne d’un policier, on peut voire Cadin dans une situation volatile et dangereuse. Cadin a de la peur. Daeninckx utilise la langue d’un roman policier pour augmenter la tension dans cette séquence. Cadin essaye de convaincre le voleur de renoncer. On voit Cadin comme un héros, mais après on apprend que le pistolet a été faux, est-ce qu’il change l’héroïsme du Cadin ? Je ne le crois pas, mais c’est vrai à dire que Daeninckx a écrit un antihéros, toujours avec des qualités et des défauts. Ici, on voit la vie du Commissariat.

Dalbois à trouvé le nom de l’assassin de Roger Thiraud, et Cadin attend le courrier. On sait maintenant que Pierre Cazes, un membre des Brigades Spéciales, a tué Roger, mais à cause d’un décret de juillet 1962, on ne peut pas condamner Pierre Cazes sous cette amnistie. Il est une affaire d’état. Dalbois donne un avertissement à Cadin : « Fais gaffe, ce n’est plus sur des œufs que tu marches mais sur une poudrière ».

Pierre Cazes habité dans une petite maison sur la route de Montauban. Cet homme est accueillant et gentil, des traites bizarres de réconcilier avec l’assassin froid du chapitre deux. Il confirme que le meurtre de Roger Thiraud était un ordre, « Je n’en sais fichtre rien. J’avais des ordres. Je me devais d’y obéir ». Pendent sa carrière militaire, Pierre Cazes a tué plusieurs personnes mais il n’a jamais oublié de « foutre une balle dans la tête d’un jeune français ». Il mentionne le patron des Brigades Spéciales, André Veillut, un homme qu’a pu travailler tout seul en cas « d’urgence ». Il a obtenu une poste à la direction des Affaires Criminelles de la Préfecture de Paris. Ce fait est intrigant, je pense, grâce au fait que Claudine parle de la corruption policière à Paris. Peut-être avec cela Daeninckx veut de faire un lien entre les deux thèmes : la violence et la corruption. On apprend aussi que Cazes est malade, il a seulement trois ou quatre mois pour vivre.

Quand Cadin et Lardenne retournent à Paris le commissaire Matabiau est là. Il veut s’occuper de l’affaire des situationnistes. La question des fausses convocations. Il y avait un mélange, les convocations est vrais mais il a été envoyer aux gens mauvais. Lardenne a fait cette erreur. Matabiau et Cadin parlent du meurtre de Bernard Thiraud. Je pense que Daeninckx est intelligent avec le développement de la personnage Matabiau dans ce chapitre. Un homme puissant, il joue le rôle d’un homme politique et en effet, il est peu utile. Il n’utilise pas sa puissance pour aider l’enquête. C’est un autre exemple par Daeninckx de l’inefficacité du commissariat de police.

La Bibliographie :

Daeninckx, D. (1984) Meurtres pour Mémoire, France : Gallimard

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Le Sixième Chapitre :

Il me semble que Daeninckx commence ce chapitre avec une critique de la mondialisation à Paris. Il parle des boulevards à Paris. Il remarque que les choses ont changé pendant les vingt entre les meurtres de Roger et Bernard. Il mentionne « un dessin animé de Walt Disney et le self-service de l’Humanité qui s’était mué en « Burger King » ». Dans le chapitre plus tard il parle « d’un gigantesque Centre Commercial ». On sait que ‘Meurtres pour Mémoire’ est un roman engagé et ici Daeninckx commente sur l’effet de la mondialisation et le capitalisme en France. Au même temps de critiquer la mondialisation Daeninckx décrit la communauté diverse qu’habite en 1982 à Paris. À mon avis, il représente une ouverture sociale depuis 1961. Je pense que Daeninckx veut d’encourager la société française d’être plus ouverte que jamais.

On trouve Cadin dans l’appartement de Madame Thiraud. Elle habité toujours dans le même logement toujours. Cadin décrit Madame Thiraud comme « un mur… un mort vivant ». On peut voir qu’elle ne vit pas vraiment, elle survit. Elle veut rejoindre son fils et son mari autant vite que possible. Quand les gestes de Cadin provoquent un « véritable panique de sa part », il lui parle, il lui réconforte. On voit la patience et la gentillesse de Cadin en ce moment. C’est intelligent par Daeninckx à mon avis. On sait déjà que Cadin n’est pas parfait mais ce moment souligne l’humanité et la sensibilité de notre antihéros. Plus que ςa, on apprend que Madame Thiraud a vue le meurtre de son mari il y a vingt ans, alors nous avons un autre témoin. Cadin partage avec elle que son mari n’a pas été tué par hasard, son assassin a été exact avec un plan précis. Elle parle d’une monographie de Roger, que Bernard a eu avant son mort.

Cadin rend visite à Dalbois et sa femme et Dalbois conseille Cadin de « laisse tomber » son enquête. Cadin demande l’aide de Dalbois pour identifier l’assassin de Roger dans la photo. Le lendemain, Claudine téléphone pour remercier Cadin pour son aide avec Madame Thiraud. Ils rencontrent cette après-midi pour parler de l’enquête. Daeninckx utilisé Claudine pour faire une critique encore de la société française. Elle pense que toujours c’est les petits qu’on accuse des crimes, « Vous courez uniquement après les plus petits et vous laissez les gros se repaïtre tranquillement ». Elle parle de la corruption dans la police et l’état. Finalement, ils parlent de la monographie. Cadin trouve la monographie chez-Claudine et il retourne à Toulouse.

La Bibliographie :

Daeninckx, D. (1984) Meurtres pour Mémoire, France : Gallimard

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Le Cinquième Chapitre :

Ce chapitre est important dans le roman pour l’apprentissage des autres faits autour le soir d’octobre 1961. Cadin rencontre Marc Rosner au début. Je pense que les deux étaient des amis quand Cadin a habité à Paris. Rosner demande si Cadin « Vous nous revenez ? ». Il indique des relations avant cette réunion. Rosner est surpris de lui voir. Cadin veut ses souvenirs de la manifestation.

Rosner parle des C.R.S. qui « me demandaient de les prendre dans la pose du chasseur, le pied sur le corps d’un Algérien ». C’est choquant pour les lectures. Moi personnellement, je trouve la description, écœurante. Il donne une image parfaite de la violence des C.R.S. ce soir. Ils n’ont pas été comme humains, ils ont chassé comme des animaux. On sait qu’aucun des C.R.S. ont été blesser ou tuer pendant la manifestation. Rosner parle des manifestants qui n’ont pas eu des armes, « à aucun moment ils n’ont essayé d’organiser une riposte ». Les C.R.S., « des… bêtes féroces » n’ont pas fait des quartiers pour les victimes innocentes. Armés jusqu’aux dents, les C.R.S. n’ont pas voulu la paix. On apprend du Rosner que la plupart des C.R.S. avait servi en Algérie pendant la guerre. L’implication de cela sur l’histoire ici est important : il ajoute peut-être un aspect de racisme. C’est triste d’entendre que Rosner n’a pas parlé de cet évènement depuis vingt ans. Il était la fin de sa carrière de flic.

Daeninckx parle d’un sujet intéressant je pense. « Le photographe n’est pas un témoin ; son film est là pour jouer ce rôle ». Pour moi, c’est une image reconnaissante et puissante. Il place l’importance sur les photos. Je trouve cette idée encourageante : quand le monde oublié, quand les autorités ignorent la vérité, les photos se rappellent. C’est une théorie d’espoir dans la recherche pour la justice.

La violence de 1961 était horrible. Rosner parle de « quarante-huit cadavres », qui sont morts par « matraquage ». C’est affreux et choquante pour les lectures. Daeninckx dénonce la violence et le régime d’autorité. Au même temps il reconnait le pouvoir de l’état.

« Il vaut mieux pour tout le monde qu’ils y restent ! Ne vous amusez pas à les remontrer à la surface ; ils feront comme Dracula, ils revivront avec votre propre sang ».

Le blason Belge

C’est dangereux pour Cadin, l’état ne veut pas que cette histoire soit découverte. C’est le même en Belgique. Cadin trouve un autre témoin de la violence insensée de 1961. Cependant il y a un avancement dans l’enquête aussi : Cadin trouve une image de l’assassin. Dans l’uniforme des C.R.S., quelqu’un a tué Roger Thiraud.

La Bibliographie :

Daeninckx, D. (1984) Meurtres pour Mémoire, France : Gallimard

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Le Quatrième Chapitre :

Le brigadier Bourrassol établit une liste de toutes les personnes dans la Préfecture la journée quand Bernard est mort, pour voir s’il y a un lien. Cadin va à Paris, dans la voiture avec Claudine, la petite-amie de Bernard. Je trouve cette séquence dans le roman un peu bizarre. Cadin commence de regarder Claudine dans une façon amoureuse. C’est vrai que les deux sont jeunes mais il n’est pas approprié pour la situation. Il expose un manque de professionnalité, le fiancé de Claudine est juste faire mort. Je pense peut-être que Daeninckx veut montrer cette faute dans le personnage de Cadin. Jusqu’à ce moment, Cadin n’a pas fait des choses incorrectes dans l’enquête. C’est presque que Daeninckx veut rappeler aux lectures que Cadin est humain. Il a aussi des fautes, comme tous les personnages dans le livre, mais il est tellement choquant quand Cadin admet qu’il a tombé deux autres fois amoureuses dans sa carrière, la première fois avec une témoin et la deuxième fois avec la victime d’un meurtre !

Cadin trouve à l’ile de la Cité un fichier qui décrire le mort de Roger Thiraud « lors des émeutes F.L.N. à Paris. Elément européen probablement lie au mouvement terroriste algérien ». Dans le premier chapitre, et aussi le deuxième chapitre, on sait que Roger n’a fait pas partie du mouvement terroriste algérien. On sait que les algériens ont été pacifique la journée du meurtre, et les C.R.S. ont été violent. Cadin va voir un collègue, Dalbois, pour trouver des informations sur Roger et Bernard. Il veut le dossier sur Roger Thiraud, pour voir s’il y a un lien entre les deux morts. Un collègue de Dalbois, Gerbet, porte le dossier. On découvre que personne n’a fait pas d’autopsie sur Roger et qu’il a porté un billet du cinéma Midi-Minuit. Cadin pense que le dossier est manipulé et incomplet. C’est intéressant de voir la réaction de Dalbois avec la mention de la Ligue des Droits des Hommes. Cadin parle de deux cents morts dans la manifestation de 1961 d’après la Ligue, et il compare les C.R.S aux nazis avec sa mention de « Un Oradour en plein Paris ». Je trouve les liens avec les choses historiques par Daeninckx efficace pour mettre le roman en contexte du siècle. Bien sûr, le roman est situé environ 1981, pour la plupart des chapitres.

Il est inconfortable pour les lectures, je pense, de lire que sept juges établissent « que la police parisienne avait répondu à sa mission, en protégeant la capitale d’une émeute déclenchée par une organisation terroriste » dans la conversation du soir d’octobre 17, 1961. Nous savons la vérité de la situation dans le roman. Il n’y a pas de morts ou de surprises dans ce chapitre. Cependant, Daeninckx décrit le comportement des figures autoritaires à l’époque pour développer les thèmes du roman. Les juges, Dalbois et ses relations avec Gerbet : Daeninckx souligne le manqué de respect entre les personnages. Il utilise ce chapitre aussi de souligner la corruption dans les établissements municipaux et gouvernementaux. Il me semble que Cadin est un anti-héros dans ce roman. Dans le taxi on voit que Cadin n’est ni raciste ni antisémitique. Il veut parler avec Marc Rosner, un photographe, et une équipe de la télévision belge, des témoins des évènements d’octobre 1961. Il cherche pour la vérité.

La Bibliographie :

Daeninckx, D. (1984) Meurtres pour Mémoire, France : Gallimard

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Le Troisième Chapitre :

Vingt ans après la manifestation et le meurtre de Roger Thiraud, on recommence le roman à Paris. Sa femme « ne quittait pratiquement jamais ce fauteuil dans… vingt ans ». Elle est devenue recluse après les évènements de 1961. Elle ne peut pas approche la fenêtre à cause de son anxiété en ce qui concerne la nuit d’octobre 17. Son fils, Bernard, étudie l’histoire, comme son père, et nous découvrons son amour pour sa petite amie Claudine, une autre étudiante de l’histoire. Ils veulent aller à l’Espagne et au Maroc mais avant tous, ils vont à Toulouse.

Préfecture de la Haute-Garonne, Toulouse

Bernard fait des recherches à Toulouse. Il ne dit jamais à Claudine le sujet de ses recherches parce que « je m’occupe d’histoires dangereuses ; une mystérieuse organisation s’agite dans l’ombre. Laissez-moi te protéger par l’ignorance ». Dans la Préfecture il travaille jusqu’à fermeture. À dix-huit heures dix, il la quitte. Les lecteurs savent qu’il y a un homme dans les ombres, dans un Renault 30 noir et il lui suit. Soudain, ce « vieil homme d’une soixantaine d’années, essouffle » trouve son pistolet et il assassine le jeune Thiraud. Je trouve cette partie de l’histoire intrigante. Le meurtre n’est pas ainsi professionnel que le meurtre de Roger. L’assassin utilise toutes ses cartouches dans ce cas et le tuer de Roger a utilisé seulement une cartouche. Je pense qu’il est difficile pour les lectures de voir les morts d’un père et son fils dans les deux premiers chapitres de ce roman, mais c’est vraiment le début de l’enquête ici.

On rencontre Inspecteur Cadin à ce moment. Il veut aider des pompes funèbres de trouver un remédie pour leur grève. On sait grâce à ςa qu’Inspecteur Cadin n’est pas un policier ordinaire : il fait choses que souvent la plupart des gendarmes ne veulent pas faire. Cadin, dans mon avis, est un Inspecteur spécial. Le brigadier Lardenne téléphone pour Cadin, au sujet un meurtre dans le quartier Saint-Jérôme. Nous, les lecteurs, savons qu’il soit le meurtre de Bernard Thiraud. Cadin commence directement avec l’inquiète. Il pense peut-être que l’assassin a mis son arme dans les services des égouts. Il parle d’un « professionnel », à cause du pistolet, mais aussi la possibilité « que ce ne soit pas une plaisanterie ». Un témoin parle d’un homme de taille moyenne, environ un mètre soixante-cinq, les cheveux gris-blancs, un homme au moins soixante ans. Le témoin parle aussi d’une voiture, Renault 30 TX noir. C’est un indice pour l’enquête. La voiture vient de Paris. Lardenne doit téléphoner à tous les stations-services en Toulouse dans le poursuit de la voiture.

Dans une autre partie de la vie quotidienne de Cadin à la gendarmerie, on voit l’affaires des situationnistes. Je trouve cette partie vraiment intelligente par Daeninckx. C’est vrai que le meurtre est important mais dans le contexte d’un Inspecteur dans réalité, il/elle travaille toujours sur plusieurs choses. Lardenne et Cadin vont à la Préfecture pour voir les mêmes documents que Bernard Thiraud, les documents qui commencent avec « DE ». Des documents sur la déportation pendant la deuxième guerre mondiale prend l’attention de Cadin.

Je trouve ce chapitre bien-écrit pour plusieurs raisons. Il est intéressant pour nous que le personnage de Cadin est devenu le narrateur, après le narrateur omniscient jusqu’à ce moment dans le roman. On rencontre des personnages différents ; Lardenne, Matabiau, Pradis, Lécussan et Cadin. C’est un développement intéressant pour les lectures.

La Bibliographie :

Daeninckx, D. (1984) Meurtres pour Mémoire, France : Gallimard.

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Le Deuxième Chapitre :

On rejoint l’histoire dans chapitre deux à Bonne-Nouvelle, le 17 octobre 1961. Ce chapitre est une partie intégrante de ce livre. La manifestation pacifique contre le couvre-feu par « plus d’un millier d’Algériens » commence. La manifestation est le premier exemple du critique par Daeninckx de la société et l’état français.

Roger est surpris que les algériens soient dans la rue. C’est important de dire qu’il y a un narrateur omniscient pour la plupart du roman mais on voit ici des discours indirects libre par Roger : « Ainsi, ils avaient osé ». On peut voir le potentiel pour danger avec l’attitude du concierge, il utilise le mot « fellouzes » pour décrire les algériens, un mot péjoratif, qui fonctionne comme indication pour le racisme autour des algériens en ce temps-là. Il est un mauvais présage pour les lecteurs. Quand Roger essaye de défendre la manifestation, le concierge parle du « pillage et les massacres… les bombes ». Roger est mal à l’aise et il quitte cet endroit.

Daeninckx utilise l’ironie dans ce chapitre. Il parle des « gardiens de la paix » avant de décrire une camionnette-arsenal vide et l’ordre de commencer avec les grenades. On voit « l’offensive policière… soldats » avec un masque de « métal brillant… absence de visage ». Je trouve cette description par Daeninckx d’être effrayante. Les C.R.S sont comme des robots, inhumains dans toutes les façons possibles. Il y a une inondation des policiers contre les Algériens. Les C.R.S. attaquent, les algériens ne réagissent pas. Les C.R.S. frappent des têtes, des bras et des jambes : les algériens n’ont pas une défense. C’est affreux de lire une description des gens qui courir, des gens innocents qui ont peur pour leurs vies.


Théâtre du Gymnase, Bonne-Nouvelle

Je trouve la description du mort de Saïd déchirante. Ce jeune algérien a une vie, des amis et un métier, mais il mort dans une manifestation qu’il veut être pacifique. Les C.R.S sont responsable pour cette tragédie. La description monte la brutalité des C.R.S. dans cet évènement. Roger Thiraud est horrifié par les corps inertes dans la rue. Le directeur du Théâtre du Gymnase veut d’aide avec les Algériens qui sont dans le théâtre, car il a une débute pour sa pièce cette nuit. Je trouve cette situation incompréhensible : un homme avec une appréciation pour la culture et les arts ne met pas une valeur sur les vies des Algériens innocents.

Dans le chaos, un photographe travaille. Roger est immobile avec choc. Un homme attend dans les ombres. Après la violence et la brutalité de la manifestation, après les C.R.S. inhumains, la rue Notre-Dame-de-Bonne-Nouvelle est un témoin d’un autre meurtre : Roger Thiraud. C’est intéressant pour nous, les lectures, de voir que l’assassin de Roger porte l’uniforme des C.R.S., mais il n’est pas concerné par la manifestation. Le narrateur mentionne « le jeu de photos » et on sait que ce meurtre est prémédité. Le meurtre est méthodique et sans émotion, dans mon avis c’est difficile de lire pour les lectures parce que on sait la nature gentille de Roger.

Le 18 octobre, la Préfecture annonce 3 morts, 64 blessés et 11,538 arrestations. Pour les lecteurs c’est choquant et il souligne une des thèmes de ce roman : la corruption de l’état. Pour moi, c’est dégoutant que deux des personnages du premier chapitre, Roger et Saïd sont morts, sans rien faire. Ils sont des victimes innocente. C’est difficile de lire mais important pour le roman.

La Bibliographie :

Daeninckx, D. (1984) Meurtres pour Mémoire, France : Gallimard

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Le Premier Chapitre :

Meurtres pour Mémoire trouve son début pendant un temps d’injustice en France. Ça introduit le cadre pour ce récit. La machine étatique a introduit un couvre-feu pour les Algériens. Dans ce contexte Didier Daeninckx introduit trois personnages. Les trois personnages sont lies : tout dans le même endroit, le même jour, au même temps : Bonne-Nouvelle, le 17 octobre 1961.

Saïd Milache :

Saïd est un jeune algérien. Il habite dans le bidonville. Il travaille dans un atelier. Les relations avec ses compagnons de travail restaient amicales même avec leurs remarques dégradantes. Saïd et son ami Lounès vont à Paris pour la manifestation.

Roger Thiraud :

Roger est professeur. Il enseigne le latin et l’histoire. Il est un bon prof – il donne des leçons supplémentaires à un élève qui se débat dans ses cours. Sa femme est enceinte avec leur premier enfant, une chose vraiment importante dans la vie de Roger. Il achète un bouquet de mimosas pour sa femme pendant son trajet chez-lui. Roger a une passion pour le fantastique, surtout les films.

Kaïra Guelanine :

Kaïra est une jeune algérienne. Elle habité dans le bidonville, avec sa famille. Sa mère est morte. Elle s’occupait de ses frères et sœurs. Elle est une vrai jeune fille algérienne moderne, visible par le fait qu’elle ose de porter des pantalons. Elle est un exemple du mélange entre les deux cultures, français et algérien. Elle fait partie des organisateurs pour la manifestation.

Daeninckx utilise ce chapitre pour souligner les conditions de vies pour les trois personnages mentionne ci-dessous. Le bidonville, un endroit exigu n’est pas écrit dans une façon misérable. En fait, les gens discutent les choses normales même s’ils sont dans un endroit horrible. Il donne des noms aux personnages. Ça a une implication historique – rendre hommage aux gens qui sont morts dans la manifestation pacifique à Paris en 1961. Il donne des noms aux ces jeunes gens, cependant il ne donne les lecteurs des détails physiques sur les gens – seulement sur leurs vies et leurs personnalités. Je pense que cette technique est importante : il donne des noms aux les gens pour encourager l’empathie envers ces personnages, pourtant ils manquent des visages et reste anonyme – comme les vraies victimes de cette tragédie historique.  

La Bibliographie :

Daeninckx, D. (1984) Meurtres pour Mémoire, France : Gallimard

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